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Vidéo envoyée par baragouineuses
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Encore plus de folie pour le blog.
Nos langues bien pendues avaient envie de parler de nos coups de coeur et coups de gueule. Alors dès à présent retrouvez nos humeurs en complément de nos analyses de bars.
Polyvalentes et touche-à-tout, découvrez nos albums photos et des vidéos dignes d'un Godard ou d'un Spielberg.
N'hésitez pas à nous laisser vos commentaires.
Les baragouineuses
Rédigé à 15:00 dans Edito | Lien permanent | Commentaires (6) | TrackBack (0)
Du nouveau cette semaine : non pas 1, ni 2, ni 3, mais 4 bars écumés lors de leur voyage en Bretagne, pays de Barrik. Les baragouineuses vous proposent une tournée festive, chaleureuse et dégustative des troquets bretons.
Pas d’analyse sous quatre angles, chacune a choisi son préféré et vous le fait découvrir.
Rédigé à 15:19 dans Les baragouineuses en Bretagne | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
Digor Kalon, taverne improbable en pleine station balnéaire.
Surprenant, étonnant, inconcevable, indescriptible. Le Digor Kalon est un ovni parmi les bars habituels sans vie, sans chaleur, sans âme.
Des grandes tables rustiques ou rondes nous invitent à nous asseoir. La lueur des bougies donne une atmosphère intime, presque irréelle.
- Le plafond est un bric à brac de cafetières, casseroles, canoë, sculptures en bois. Il faudrait y passer des jours entiers pour admirer tous ces objets posés, accrochés là au hasard. Plus un pan de murs ou de plafond est libre.
- À l’arrière, une pièce cachée, on a l’impression d’être à la maison, des maillots de bain sont suspendus dans les airs.
- À l’étage, un bar en vrai zinc, des bustes sur bois, une immense bibliothèque qui recèle des centaines de livres, de magazines, de jeux.
A chaque commande, bières, vins ou sangria-maison, le patron, adorable et déjanté personnage, vous racontera l’histoire de chaque boisson. Pour accompagner, tout ça je vous conseille les tapas « à la bretonne », les gambas ou encore le bœuf à la Dremwell.
Délicieux, repas rustique et prix plus que tempéré. N’hésitez pas !
Barda
Digor Kalon
89 rue du Maréchal Joffre
22700 Perros-Guirec
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Le Nabuchodonosor ou comment allier cuisine excentrique et bistrot peu banal.
Rennes : capitale du troquet par excellence. Dans la rue de la soif se distingue le Nabuchodonosor. Tables de bois, mur en brique, tableaux noirs, la décoration y est simple mais charmante.
Un petit creux ? Manchon de canard aux lentilles indiennes, boudin aux pommes, rillons tièdes, cabri au riz. Tout est possible, des plats les plus rustiques aux plus originaux.
La propriétaire des lieux vous conseillera des vins de propriétaires, vin d’Anjou, Côteaux du Layon ou un Bordeaux qui arroseront ces petits plats.
Bistrot peu banal, casse-croûte improbable et boissons agréables, voilà à quoi vous attendre si vous mettez les pieds au Nabuchodonosor.
Pour info le Nabuchodonosor est une grosse bouteille de champagne contenant 20 bouteilles de champagne ordinaires.
Barracuda
Le Nabuchodonosor
12 rue Hoche
35000 Rennes
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Le Cellier : bar fantaisiste, patron bourru, perdu en pleine campagne, bières celtes. Voilà en quelques mots comment on peut décrire le Cellier.
Boquého, bourg breton qui héberge à peine 1 000 âmes, la plupart retraitées depuis 30 ans. Face à l’église, le Cellier, orné d’un drapeau breton, cache bien son jeu. À première vue, un bar sans vie, à la façade morne.
La première idée qui me traverse la tête : ça doit être le QG des chasseurs du coin ou des régionalistes au caractère bien trempé.
Erreur ! Ce bar se révèle être un lieu chaleureux : poutres en bois apparentes, pompes à bières en manche de porcelaine, tables usées par le temps, gravées, bancs instables. On a l’impression de remonter le temps.
Jean-Jacques, le patron, vous propose les essentiels : Guinness, Coreff, Dremwell, Maes Pils (bière belge), cidres artisanaux, mais aussi vins d’Alsace et d’ailleurs.
Concerts de musique traditionnelle, de rock ou de jazz, tous redonnent de la vie à ce village et permettent de découvrir de nouveaux talents de Bretagne et d’ailleurs.
Bref, vous vous sentirez comme chez vous, loin du monde, dans une autre dimension.
Barrik
Le Cellier
Bourg
22170 Boquého
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The Dubliners : l’ambiance irlandaise à deux pas de chez nous.
The Dubliners, mythique pub de Brest m’a tapé dans l’œil. Nostalgique de l’Irlande, devenue pro des pubs après avoir vécu 6 mois à Dublin, The Dubliners vous envoie en Irlande sans passer par la case aéroport.
Brest n’est pas connu pour son architecture accueillante. Dans un quartier plutôt morose, on découvre The Dubliners. Une fresque verte sur la façade du bâtiment est décorée d’entrelacs orange inspirés des manuscrits irlandais. Epoustouflant !
Le patron : l’irlandais Joseph Smith, exilé à Brest depuis une vingtaine d’années, en a fait un haut lieu des soirées festives de Brest.
La décoration du bar rappelle l’Irlande : tapisserie rouge, verte, cheminée ancienne, bar en bois interminable, vitraux aux fenêtres.
Coreff, Kilkenny et bien entendu la Guinness, sont les boissons incontournables. Côté ambiance, danses irlandaises et bretonnes feront le bonheur de tous.
Baratin
The Dubliners
28 rue Mathieu Donnart
22900 Brest
Rédigé à 15:37 dans Les baragouineuses en Bretagne | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
Étudiantes baragouineuses, il nous arrive de vouloir manger. Entre rêve et réalité, le gouffre est énorme à la fac.
Levées depuis 9h, arrivées 13h, l’estomac gronde. Au mieux un repas au RU, au pire un quignon de pain. Peu importe quelque chose qui arrête ce grondement incessant.
Nous avons moins d’une heure pour manger, et nous empressons de monter une stratégie pour manger le plus tôt possible, tout en prenant en compte le rapport qualité/prix.
1er choix : le RU : impossible : 30mn de queue, 5 mn pour choisir son repas. Dans le meilleur des cas, il nous reste 25mn pour manger. Comment apprécier des frites trop cuites et un steak trop saignant en 25 mn. Impossible.
2e choix : le forum étudiant : 5 à 10 mn de queue. Mais, il faut avoir le palais en veille ou ne pas avoir manger depuis des semaines. Ce qui malheureusement pour notre balance est loin d’être le cas.
3e choix : le TU : pas chère et sandwich ok. Malheureusement, nous ne sommes pas les seules à le savoir, le petit bar est pris d’assaut. Passé 13 h, plus un gramme de nourriture à l’horizon.
4e choix : la cafét’ : nous nous y sommes aventurées 2 fois cette année. Nous y avons acheté un sandwich jambon beurre à chaque fois. En deux mots : immangeable mais intéressant. Immangeable parce que c’est la première fois de notre vie que nous voyons une tranche de jambon de 5 cm d’épaisseur, et une motte entière de beurre dans un seul quart de baguette. Pour les mêmes raisons c’est un sandwich très intéressant à étudier.
5e choix : le sandwich-machine : parfois le capitalisme a du bon. 2 €, la pièce dans la fente, on appuie sur un bouton. Le sandwich tombe, on le ramasse, on ouvre le sachet en plastique, on mange. Simple, efficace, rapide.
Après mûre réflexion, nous nous arrêtons sur le choix 4. Seul problème, nous n’avons pas de monnaie. Et malgré les avancées scientifiques et techniques, notre cher distributeur de sandwich ne prend pas les billets de 10 €.
Direction la cafet’ pour quémander un peu de monnaie. Nous demandons gentiment, avec le sourire, de la monnaie sur mon billet de 10 €. Réponse de la serveuse : « NON ! Si je commence à donner de la monnaie à tout le monde, je m’en sors plus, vous vous croyez à la Banque de France ? » . Très vite, nous perdons notre sourire et résistons à ne pas devenir exécrables malgré la faim qui nous tiraille.
Notre cerveau arrive tout de même à fonctionner : nous achetons une connerie à pas chère, nous obtenons ainsi de la monnaie, donc nous pouvons acheter un sandwich-machine, en plus on gagne du chocolat. Forcément, le cerveau de la serveuse marche tout autant que le notre, elle met donc alors très vite à jour notre nouveau stratagème. Elle nous donne malgré tout un paquet de M&M’s, tout en nous lançant un regard dédaigneux.
13h20, nous mangeons enfin un sandwich-machine thon crudités emballé sous vide. « Un gage de savoir faire, de qualité, de confiance de la distribution automatique » qu’il disait.
Perso, on n’a toujours pas trouvé le goût du thon. Manger à la fac, c’est pas gagné. A leur décharge, on demande à l’université de nous former, de nous cultiver, pas de nous nourrir.
Les baragouineuses
NB : la cuisine estudiantine plein de bons conseils pour manger bien et mieux.
Rédigé à 18:36 dans Coups de gueule | Lien permanent | Commentaires (3) | TrackBack (0)
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