Les baragouineuses débarquent

Café Cult' à l'heure de l'apéro

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Halte à la malbouffe et aux fast-foods ! Mais où déjeuner, où dîner sans se ruiner ?

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Le Café Cult’ propose le midi, à nous étudiants en difficulté, ses formules « Menu-Carte » : entrée+plat ou plat+dessert pour 11€ seulement et pour les plus gourmands entrée+plat+dessert pour 15€ et copieux en plus. Avouez que c’est raisonnable. Le choix est un peu restreint surtout pour les végétariens. En effet pas de poisson le midi. Mais peut être vous laisserez vous surprendre par l’entrée, le plat et dessert du jour.

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Pour la carte du soir, le choix est plus dense mais les prix plus élevés. Les entrées sont à 6€ et les plats compris entre 11 et 15€. Mais la carte en vaut le détour : laissez vous tenter par la Gourmandise de foie gras et le croustillant de Carré d’agneau en terminant par l’Amadeus au chocolat. Vous vous laisserez peut être guidé par les humeurs du chef cuisinier en choisissant son menu « Laissez-vous surprendre ». N’oubliez pas leurs petits vins gouleyants ! Un bon repas s’arrose forcément mais avec modération.

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Pour les artistes en herbe et en mal de devenir, le Café Cult’ vous donne l’occasion de vous faire découvrir en exposant vos œuvres. Présentez votre book au patron. Les expos tournent pas mal, pas besoin de venir des mois à l’avance. Et pour les amateurs d’art, soutenez vos camarades en venant au café jeter un cil ou même acheter.

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Barracuda

Café Cult' vue de la tireuse

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Le Café Cult’ive diversité alcoolisée et prix décents.

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Entrée dans  le bar. Installation à une table. État des lieux : bar tendance, déco travaillé, là mon côté radin prend le dessus. Encore une soirée qui va coûter chère avec le réchauffement de la planète, le prix du pétrole, la taxe d’habitation, ça fait trop pour une seule personne.

Toujours optimiste, je jette un coup d’œil à la carte. Mea culpa. Halte au stéréotype : bar sympa = conso hors de prix. Le café cult’ nous le prouve.

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On y trouve l’essentiel :

- Le demi Heineken (2,5) pour les habitués à la recherche de désaltération pas chère.

- La Delirium Tremens (3,80), de temps en temps, le plaisir est à consommer avec modération

- L’Affligem (3,20), l’incontournable

- Les boissons chaudes

- Les boissons sans alcool, etc.

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Bien sûr, les aficionados des découvertes gustatives, des nouveautés, des saveurs d’ailleurs seront un peu déçus. Mais un cocktail à 5,50, ça ne se refuse pas. Le petit plus la paille fluo, en soit aucun intérêt, mais dans les moments de solitude ça occupe.

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Si vous souhaitez simplement boire un verre entre amis et ne pas passer des heures à déterminer une commande, ce bar est fait pour vous.

Café Cult’ivez vous !

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Barrik

Café Cult' côté patrons

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De la convivialité aussi derrière le comptoir, grâce à un homme, un vrai.

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Pour moi ce café-resto est une découverte. J’y ai souvent vu de la lumière mais n’y suis jamais entrée.

Direction le comptoir, objectif : aborder le gérant du Café Cult' en plein rush. Mission impossible ? Pas quand on s’appelle Baratin.

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Bernard, 52 ans, ne tient pas en place. Véritable pile Duracell, nul besoin de le presser quand il est dans le jus, cet homme là sait tout faire et tout en même temps, (Bernard est un homme comme on en voit peu, à bon entendeur…).

Dynamique et disponible, ce gérant originaire de Saint Malo ne rechigne pas à répondre à mes questions, malgré les clients assoiffés. A la simple évocation de son travail, ses yeux pétillent, « c’est plus qu’une passion, c’est une vie entière. Il faut aimer les gens et j’ai beaucoup d’amour à donner » (encore un bon point pour Bernard).

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Moi je suis tombée sous le charme, du bar bien sûr.

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Bernard en quelques chiffres :

100% investi dans ce qu’il fait et prêt à sacrifier beaucoup de lui pour son café,

33 ans dans le métier,

8 personnes sous ses ordres,

2 ans ½ qu’il s’occupe du Café Cult',

3 enfants dont un, Guillaume, 25 ans, qui travaille avec lui,

1 projet : faire du Café Cult un relais école pour former les jeunes motivés par la restauration,

0 prise de tête et une totale confiance en son équipe. Il laisse même carte blanche à ses cuistots.

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Baratin

Les baragouineuses à l'Ascenseur

L'Ascenseur
1 rue de la Juiverie
44000 Nantes

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Baromètre :

"Déco originale et conviviale" Barda
"Bonne programmation musicale" Barracuda
"Conso diverses et prix abordables" Barrik
"Patrons jeunes mais un peu timides" Baratin

L'Ascenseur côté déco

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Le septième ciel ça vous tente ?
Alors rendez vous à l’Ascenseur.

Situé dans le fameux quartier Bouffay, ce café vous accueillera dans un décor assez original.
Avec ses graphes dans les tons orangés aux murs et ses cylindres métalliques au plafond, ce bar donne une impression de friche industrielle.

Les lumières ne sont pas agressives, elles donnent une intimité à cette friche.

Parlons des toilettes. La porte est vraiment originale, elle imite celle d’un d’ascenseur. Cette porte métallique s’ouvre en coulissant deux pans.
L’intérieur ressemble également à un ascenseur : quelques boutons permettent de choisir l’étage où l’on veut se rendre. Tout est fait pour donner un aspect industriel : lavabo et mur métalliques.

Les tables sont vraiment étonnantes : elles sont recouvertes de pub différentes sur chaque table.
Autre originalité : des bancs adossés aux murs font office de chaise. C’est sympa mais peu confortable.

Les points négatifs : la musique est très rapidement forte. On peut avoir quelques problèmes pour s’entendre parler.
Il y a peu de places assises. Ce bar est vite plein, il y a donc quelques risques de rester debout.
Enfin, un graphe représentant un homme tout en noir me fait tout le temps peur.

Bonne élévation.

Barda

L'Ascenseur à l'heure de l'apéro

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Les études, c’est bien. Mais profitez de l’ambiance festive de Nantes, c’est pas mal non plus.

Cette semaine, je vous conseille l’Ascenseur, bar culte de Nantes. Bar qui allie bonne ambiance, musique, déco sympa et prix abordables.

Question musique, c’est peut-être un des meilleurs. L’ascenseur organise des concerts gratuits avec des Dj’s nantais et il y en a pour tous les goûts : jazz, soul, funk, hip hop au menu.
Mais attention, très couru donc difficile de se frayer un chemin.

Prochains rendez-vous :
- le 18 novembre à 21h30, Dj R Kut (hip hop)
- le 21 décembre, Dj Moon (hip hop, funk old school).

Pour ses 3 ans (début novembre, soyez au rendez-vous l’année prochaine, même période), l’Ascenseur a sorti une compilation des Dj’s résidents, qui sont principalement artistes nantais. Cette compilation est écoutable en ligne. N’oubliez pas de nous donner votre avis.

Autre bon plan : l’Ascenseur organise chaque année une braderie (fin de séries bradée), la prochaine aura lieu le 1er décembre. Avis aux accros du shopping et de l’apéro !

Barracuda

L'Ascenseur vue de la tireuse

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L’Ascenseur : le bar qui monte descend les prix, et ça nous les baragouineuses on aime.
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Pour une fois qu’un bar allie ambiance, déco et prix, on ne va pas s’en priver. Alors j’ai bien cherché des défauts, lu et relu la carte, de long en large, de droite à gauche, recto, verso. Je ne vois pas.

Pas besoin d’en dire davantage, un petit résumé de la carte, va suffire pour vous convaincre :

- demi à 2,3 €

- pinte à 4,4 €

- les alcools forts à 4 €

- les shooters à 2 €

- les cocktails à 5 €

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En plus, les serveurs sont loin d’arnaquer les clients. Certains cocktails sont costauds, à ne pas laisser entre les gosiers de n’importe qui (monte charge = cointreau + calvados).

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Voilà, je pense que cette mini liste suffit. Je me permets tout de même de lancer un appel à tous nos lecteurs. Si vous souhaitez vous insurger contre ce papier et mettre en lumière les défauts de l’Ascenseur, n’hésitez pas. Ça m’aiderait.

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Barrik

L'Ascenseur côté patrons

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Qui se cache derrière le comptoir de l’Ascenseur ? Baratin a enquêté pour vous.
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C’est toujours la même histoire avant d’entrer dans un bar avec mes amies les baragouineuses : qui vais-je devoir interviewer ? J’ai toujours peur des mauvaises surprises. Mais une fois de plus je ne suis pas déçue.
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Je suis accueillie par le bonsoir chaleureux de deux jeunes hommes. Gatien, 30 ans et Yann, 28 ans. Je sais ce que vous vous dites : 3 bars analysés, 5 hommes interviewés. Ça vous semble louche ? Promis, je ne choisis pas le bar en fonction des barmen. Je me pose tout de même une question : mais où sont les femmes ?
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Revenons à ma rencontre avec Gatien et Yann :
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Le premier est un homme polyvalent. Si vous lui demandez son cursus il vous répondra : « vous avez plusieurs heures devant vous ? Ça risque d’être long ». Gatien ne se pose jamais longtemps au même endroit. Souriant et sympathique, sa devise est : « L’habitude tue l’imagination ».
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Yann est co-gérant avec Benji. Tous deux s’occupent aussi du Point Bar à Nantes. Ils viennent juste de fêter les 3 ans du bar. Le plus important pour lui « que les clients se sentent ici comme chez eux » et pas de soucis c’est chose faite.
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Baratin

Les 10 règles d'or des baragouineuses

Passion des bars ne rime pas avec laisser-aller de notre charte éditoriale. 10 règles + 4 chroniqueuses charmantes = 1 super blog.
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- Environ 1 000 signes par billet,
- phrase d'intro en gras,
- signature en bas en italique,
- mots importants en gras,
- un lien minimum par billet,
- ordre des billets : baromètre, Barda, Barracuda, Barrik, Baratin,
- un titre par billet (nom du bar + spécialité de la chroniqueuse + logo de la chroniqueuse),
- nom du bar avec un lien + photo,
- photo à 300 pixels (excepté les logos des bars)
- style d'écriture naturel et propre à chaque chroniqueuse. Un impératif : pas de blabla inutile, les baragouineuses vont droit au but.
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Les baragouineuses

Barda présente Baratin

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Vidéo envoyée par baragouineuses